La Chine lorsqu’elle aime
Le mot amour m’est autant antipathique et répulsif que m’est attirant le concept voilé derrière cette sonorité. Je ne peux dire le mot pour désigner un état de transcendance assujettissant. Un contresens dira-t-on, oui, mais pourtant rien n’est logique dans cet état dit-on aussi.
Je crois que pendant un certain temps, que j’évite de délimiter, j’ai renoncé à ce qu’on appelle dans le secteur de la fiction et des romans parfumés, la quête de ma deuxième moitié comme dirai Aristophane.
Un détour vers la raison, un choix d’éventuel bonheur ou simplement un pari de bien être potentiel. Je ne peux nier que j’ai rencontré des doutes et que j’ai même passé par un brin, pour ne pas dire tas, de scepticisme à cet égard. Mais le temps passe et avec lui emporte la mémoire, celle-ci pleine de souvenirs, de frissons et de joie. Mais comme les vagues qui se déchaînent en alternance sur le sable, la mémoire revient de temps à autre et puis replonge dans la mer.
A présent, et ces phrases sont en réaction à une œuvre visuelle mouvante qui a ravagé la rétine de mes yeux et s’est éparpillée un peu partout arrivant a l’organe qui pompe la vie et parfois la mort dans mes veines, je ressens. Evidemment ceci est une phase transitoire, l’insouciance est mon seul compagnon. Le vide remplit mon cœur, et je pense.
Désormais le violon me tue.
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