Relief
Il se trouve dans ce centre temporel, relatif, et absurde. Il était également dans le centre de tout et de rien, comme tous, comme toute conscience. Chaque jour, juste avant le voyage vers l’autre, il se transperçait d’existence.
Je regarde la vie dans son œil
Rêveur, je me lance dans les sous-sols du moi
Un bruit me transforme
Je ne vois plus, je suis audible.
Je pars à la recherche d’une ombre,
Elle voit la lumière et s’enfuit.
Aveugle, je la suis des yeux.
Elle s’éloigne en rayons,
Et le silence assourdissant,
Chante des rêves orphelins.
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